L’entente avec les autres

Les enfants doivent apprendre que le chiot n’est pas un jouet ou une poupée et qu’il ne doit pas être dérangé lorsqu’il se repose ou dort.

Ne le taquinez pas et ne jouez pas avec lui de manière agressive. Tirer sa queue ou le taquiner peut entraîner un mauvais comportement, comme se retourner ou même mordre.

Soyez doux. Dites aux enfants de ne jamais crier après le nouveau chiot, même s’il fait quelque chose de mal. Expliquez que les chiens peuvent avoir peur des bruits forts.

S’ENTENDRE AVEC D’AUTRES CHIENS

Même les chiots qui se considèrent comme presque humains devront apprendre à s’entendre dans la communauté canine. Au minimum, vous rencontrerez un autre chien lors de vos promenades quotidiennes. Permettez-lui de renifler et de jouer amicalement, mais reculez si votre chiot semble intimidé.

S’ENTENDRE AVEC LES AUTRES ANIMAUX

Votre nouveau chiot et votre chat siamois ne deviendront peut-être jamais les meilleurs amis du monde, mais vous pouvez au moins les encourager à se tolérer mutuellement. Commencez par garder le nouveau venu dans un chenil et permettez au locataire de l’animal de le visiter à travers les barreaux de sécurité. Prolongez progressivement la durée des visites avant de permettre aux deux parties de se rencontrer face à face.

Supervisez ces rencontres jusqu’à ce que vous ayez la certitude que tout se passera bien. Notez que même si votre chiot est bien élevé et bien socialisé, il sera toujours enclin à courir après les animaux car ceux-ci voudront jouer. Vous pouvez lentement permettre à votre chiot de renifler des animaux plus petits tels que des hamsters, des lapins, des cochons d’Inde, alors qu’ils sont encore dans leur cage, afin qu’ils se sentent en sécurité.

FAIRE FACE À DE NOUVELLES EXPÉRIENCES

Tout ce qui fait beaucoup de bruit, comme un aspirateur, une voiture ou une machine à laver, peut être terrifiant pour un jeune chiot. Pour éviter de les effrayer, faites-lui faire progressivement de nouvelles expériences.

Laissez-les contrôler l’objet silencieux par eux-mêmes. Placez-les ensuite à une distance sûre avant de l’allumer pendant une minute ou deux pour qu’ils puissent entendre le bruit qu’il fait. Après l’avoir éteint, tenez-vous près de l’objet et appelez votre chiot vers vous. Récompensez-le. Répétez cette leçon en allongeant le temps du son. Enfin, appelez-le pendant que le son est encore présent. Ils finiront par comprendre que les objets bruyants dans la maison ne sont pas un problème.

Participez à un cours pour chiots pour une formation supplémentaire et obtenez un soutien et des conseils en cas de problème.

SOULAGER L’ANXIÉTÉ DE SÉPARATION DE VOTRE CHIOT

La plupart des chiots apprennent à aimer leur nouvelle vie dès qu’ils rejoignent votre famille. Cependant, certains chiots peuvent souffrir d’être séparés de vous. Voici deux choses que vous pouvez essayer :

Faites preuve d’empathie. Les chiots souffrant d’anxiété de séparation ne se comportent pas mal ou ne sont pas méchants. Ne les punissez pas et ne les isolez pas.

Donnez à votre chiot un endroit sûr. Les paniers ou les chenils pour chiens sont parfaits pour offrir à votre chiot un endroit sûr et confortable dans votre maison.

Veillez à ce que votre chiot fasse beaucoup d’exercice. S’ils sont fatigués, ils seront plus enclins à dormir et à ne pas s’inquiéter de l’endroit où vous êtes.

Réorientez leur comportement. Cachez une friandise pour que votre chiot la cherche ou donnez-lui un jouet avant votre départ (vous devez également le faire à d’autres moments pour éviter que le jouet ou la friandise ne devienne un signe que vous partez).

Faites vos départs ou retours discrets Essayez de les ignorer pendant 10 à 15 minutes avant de partir, si votre langage corporel dit « ce n’est pas grave », ils pourraient commencer à vous croire.

Apprenez-leur à tolérer l’agitation. Donnez-lui une friandise, puis quittez la maison pendant une minute ou deux. Il commencera à associer votre départ et votre bon comportement à la réception d’une récompense. Prolongez progressivement la durée de votre absence jusqu’à ce qu’ils soient en mesure de mieux l’accepter.